À partir de 2021, elle commence à questionner, à travers sa pratique plastique, la place des émotions dans le droit. Cette question a ouvert la porte à plusieurs projets ayant pour objectif de créer de nouvelles approches artistiques et pédagogiques. Elle intervient dans plusieurs universités pour réaliser des ateliers de réflexion juridique et de peinture. Elle a notamment préparé une exposition en collaboration avec l’Université d’Ottawa sur la catégorisation juridique du corps humain après la mort, et fait également partie du mouvement avant-gardiste OuDroPo créé en 2013 à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.